Face à un plan de transition écologique juste, mais exigeant, les modes de déplacement vivent un véritable bouleversement au profit de la mobilité douce.
L’utilisation des moyens de locomotion à zéro émission est en effervescence, et l’usage de la voiture devient raisonné, notamment avec le covoiturage et l’autopartage. Le Transport à la Demande se positionne dans cet objectif général de transformer la mobilité urbaine en mobilité durable.
La mobilité douce renvoie aux modes de transport respectueux de l’environnement. Si ce type de locomotion n’est pas toujours possible, d’autres façons de voyager propre voient le jour.
Au sens très large du terme, la mobilité douce désigne tous les moyens de transport non motorisés. Cela comprend alors la pratique du vélo et ses dérivés, la marche à pied, le tramway, le skateboard, la trottinette, ou tout type de transport collectif, ou non, n’ayant aucune émission de CO2.
Le terme de « mobilité douce » se voit remplacé, depuis les années 2010, par ce qu’on appelle la « mobilité active », qui regroupe tous les déplacements qui se font à la seule énergie de l’effort physique de l’être humain. Ces solutions d’écomobilité ont pour objectif d’améliorer la qualité de vie urbaine en proposant un moyen de transport respectueux de l’environnement, et bon pour la santé.
Dans un souci de développement durable, et de diminution d’émissions de gaz à effet de serre, le Transport à la Demande s’inscrit parfaitement dans le plan de mobilité écologique. Le TàD se présente comme une alternative à la mobilité douce, notamment en zone péri-urbaine, où les transports propres sont difficiles à exploiter.
Cette solution de déplacement durable est ainsi complémentaire à la mobilité douce, et agit activement sur l’impact environnemental des transports en commun, tout en réduisant les inégalités territoriales en matière d’infrastructures de transport.
Le Transport à la Demande s’impose comme une solution de mobilité durable bénéfique pour l’environnement, et pour les usagers.
Si on part de l’idée que la mobilité douce vise à réduire les émissions de CO2 et agir sur l’environnement et la qualité de l’air, le Transport à la Demande travaille donc en faveur de la mobilité douce. Bien que ce mode de déplacement ne soit pas encore zéro émission, le TAD, en optimisant les déplacements des voyageurs, contribue fortement à limiter la pollution, et s’impose comme une solution écologique.
Le développement du Transport à la Demande répond alors à une volonté politique de proposer des alternatives à la voiture dans les villes, et réduire les kilomètres superflus, et va ainsi dans le même sens que la mobilité douce.
La qualité des zones urbaines, et des territoires en général, passe par un respect de l’espace public. Chacun doit prendre conscience que la ville doit rester accessible à tous. Les nouveaux modes de déplacement agissent en ce sens, et ouvrent les portes à la mobilité pour tous.
Le temps où tous les déplacements se faisaient uniquement en voiture tend à disparaître, pour laisser place à de nouvelles mobilités, et au partage de transport entre les usagers. Si cette solution était déjà bien étendue en agglomération, elle gagne du terrain pour s’imposer progressivement en zone péri-urbaine, souvent mal desservie par les transports en commun.
Le TAD permet alors de rendre la ville accessible à tous, et particulièrement aux Personnes à Mobilité Réduite (PMR) et aux personnes vulnérables, tout en agissant sur la qualité du territoire : peu d’installation ou de travaux, utilisation des réseaux déjà existants, désencombrement de la voirie, optimisation des espaces publics…
Les usagers sont au cœur des préoccupations du TAD, puisqu’il a pour objectif de redynamiser les territoires péri-urbains en proposant un service adapté au rythme des utilisateurs. Les voyageurs peuvent ainsi bénéficier d’un transport public de qualité comparable aux transports privés en centre-ville. Ils sont libres de choisir leur mode de transport, leurs horaires et leur fréquence d’utilisation, pour que la réservation d’un TAD soit aussi simple que de réserver un VTC en plein cœur des agglomérations.
Avec un service presque à la carte, et à destination de tous, le Transport à la Demande répond aux besoins spécifiques de chacun des usagers, pour une expérience utilisateur optimale.
Padam Mobility est une start-up engagée dans l’écomobilité, en parfaite complémentarité avec le principe de mobilité douce. Pour cela, la société contribue à de nombreuses avancées en matière de mobilité durable.
Le TAD propose une solution de transports alternatifs qui vient compenser les limites des transports collectifs classiques. Ces nouveaux transports publics sont alors très sollicités en zone rurale ou périurbaine, la nuit, ou pendant les heures creuses. Ces modes de déplacement alternatifs permettent de limiter l’utilisation du véhicule personnel et l’autosolisme, et ainsi de réduire l’impact écologique des trajets en voiture.
Padam Mobility a su proposer une solution de mobilité alternative capable de renforcer l’utilité des infrastructures de transport déjà présentes, et sans que cela ne nécessite de nouveaux travaux ou de nouvelles installations. Le Transport à la Demande a ainsi pu être mis en place de manière intelligente et dynamique, en limitant les trajets à vide, et en réalisant des itinéraires mieux calculés, pour une optimisation parfaite des réseaux de transports déjà existants.
Dans la même visée que la mobilité douce, le Transport à la Demande de Padam Mobility incite les voyageurs à opter pour un mode de déplacement soucieux de l’environnement. Mais il ne s’arrête pas là, et donne la possibilité de choisir également les itinéraires les plus judicieux pour réduire la consommation énergétique, et donc la pollution.
Le Transport à la Demande s’invite dans toutes les situations où les moyens de transport à zéro émission de gaz à effet de serre sont impossibles, et vient ainsi compléter les mobilités douces. Padam Mobility agit activement pour inciter les usagers à se déplacer différemment, en proposant des services de mobilité à la fois intelligents, optimisés, peu coûteux et durables.
Face à la multiplication des modes de déplacement et la difficulté de moduler chacun d’eux pour obtenir un itinéraire optimisé, le MaaS s’impose comme un concept innovant.
En peu de temps, l’essor de la digitalisation des transports a profondément modifié les pratiques de tous. Cela se vérifie dans le transport de personnes, où la mobilité connectée est une priorité pour tous afin de faciliter les déplacements.
Dans les villes, les modes de déplacement des citadins ont beaucoup évolué, et sont encore en train de changer. De nouvelles formes de mobilité urbaine apparaissent, et impactent le monde d’un point de vue économique, social et environnemental.